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Le temps serait ce qui ne passe ?
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Descente vers Trieste…

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de [felipe ]

2006-02-02  | [Acest text ar trebui citit în francais]    | 






Après tout, quel que soit l’ordre ou le désordre se peuvent recoller les morceaux. J’habite si près de la cathédrale que je ne puis en voir, les lundis, que les enterrements. Je travaille le samedi, à ce point que je pourrai croire que sur le parvis ne se déroulent que de noires oblations et jamais les flèches déflorant le chrême des nuages et les sens interdits.

Je tire les rideaux, je n’occulte pas les rives et je n’ai rien fermé. Je sais qu’il va pleuvoir et c’est moi qui fais tomber la pluie. Aux frontières les soldats attendent l’ennemi sur des side-cars d’opérette. Ils ne savent pas qu’il faudrait braquer les culasses mobiles des mitrailleuses de l’autre côté, mais désapprendre, personne ne sait. C’est une histoire pour demain qu’il faudra soulever comme une éclisse. Morsure peut-être. Beaucoup de morsures et d’éclisses soulevées.

Vous direz que le samedi n’existe pas. C’est le jour des mariages et des grandes constrictions. Descente vers Trieste… L’Adriatique ne sait rien des barbelés. IL y a toujours un anglais dans le paysage pour dire, en français dans le texte:

« C’est magnifique »

Talking about what : les menhorées du soleil se couchant. Je vais dire oui, pour le soleil, non pour les ablations. J’avance, je percute, je n’ai rien à vendre et cela vous rend étrangement désarçonnée.

Vous ne vous aimez pas beaucoup…

Je t’ai laissé parler, maintenant je pilote. C’est le temps d’avant. Rien ne présume, mais je me penche, je regarde les mots. J’ai mon diplôme d’exclus de l’université. Il y avait un rayon de plus dans le miel de Mallarmé :

« Ce que vous avez vu n’existe pas »

Si pourtant, il y avait une marche de plus dans l’escalier, je sais, je me suis empêtré dans cette dimension impossible de ce qui n’existe pas et qui le crie. Qui puis-je si tu ne lis pas les mêmes lignes que moi ?





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